✁ Niklaus ( 2eme au choix ) Marcovic

© Tumblr.

ÂGE : 23. ★ DATE DE NAISSANCE : écr1988. ★ LIEU DE NAISSANCE : au choix ★ PROFESSION : Etudiant. ★ STATUT CIVIL : Célibataire. ★ GROUPE : THE CRY A RUSH A ONE BREATHE

“ CAN'T FIGHT THIS FEELING... „

★Né en 1988 ( date au choix ) à ( Pays de l'est )

★ Famille modeste , père ouvrier et mère au foyer. Deux garçons ( possibilité de se créer le frère en scénario )

★ Enfance assez modeste par manque de moyen, mais garçon volontaire & ambitieux.

★ Intègre l'équipe de basket et de football de son lycée.


★ Sportif accompli , reçoit une bourse pour aller étudier à dans une grande ville, entre New York , Miami et Vancouver , il choisit la dernière ( raison à développer ).


★ Commence donc des études à la fac dans la section Sport Etudes ( Bourse sportive mais études littéraires ou artistiques )

★ Etait présent lors de la fusillade. Il n'a pas été blessé mais il a vu un camarade de classe se faire abatre. Il a aidé les pompiers , ne voulant pas rester sans rien faire.

★ Habite un petit studio de Mount Pleasant .

★ Sort plus ou moins avec ( possibilité d'inventer une petite copine )

“ SOMEBODY TO LOVE... „

Le plus difficile n'est pas de trouver l'âme-sœur mais de la reconnaitre.

Quand je l'ai rencontré j'ai su que c'était lui. Jamais mon coeur ne s'était mis autant à battre. Sur leaa moment j'ai même cru que j'avais une attaque. Et pourtant cela était juste du à sa présence.
Une sensation puissante et intense s'emparait de moi à chaque fois que je le croisais. Ca en devenait même douloureux parfois.
Pourtant ça n'était qu'un garçon. Il était dans certains de mes cours, apparament il n'était pas de Vancouver et était agé de vingt-trois ans. J'essayais de collecter le plus d'informations possibles tellement il m'intriguait. J'avais parfois l'impression d'être une gamine de quinze ans qui découvre l'amour.
J'étais tellement timide que j'osais à peine l'aborder. Il y avait tellement de filles plus intelligentes , plus jolies que moi. Hell me soufflait de la laisser prendre les choses en main mais je voulais vivre cela moi-même, seule.
J'étais persuadée qu'il ne me remarquerait jamais. Et j'avais tort.

« J’étais devant la machine à café, il m’en fallait un j’étais crevée. J’avais travaillé toute la nuit pour mes partiels qui arrivaient et Hell ne m’avait pas rendu la tâche facile. Elle n’aimait pas travailler et me le faisais sentir. Etre enfermer était une torture pour elle, d’après ses mots. Et ce n’est qu’au petit matin qu’elle s’était tu, juste parce que j’étais fatiguée et que je devais me préparer pour aller en cours. Et là était enfin arrivée la pause de dix heures. Je baillais et farfouillais dans mon portemonnaie à la recherche de petite monnaie quand une main apparut devant moi, avec quelques pièces à l’intérieur. Je relevais la tête et découvrais devant moi le garçon sur lequel je bavais depuis quelques mois. Niklaus Marcovic. Je ne dis rien, me contentant de le fixer. Il engouffra les pièces dans la machine et me tendit un cappucino. Pourquoi me payer une boisson – qui plus est ma préférée – alors qu’on ne s’est jamais vraiment parler ? Il répondit à ma question muette.
« Eden c’est bien ça ? Tu dois te demander pourquoi je t’offre un capucino. Je trouvais que c’était un bon moyen de t’aborder. »[/b] Il connaissait mon prénom . Et il voulait m’aborder. Il savait donc qui j’étais. Devant mon silence il continua. « Heu … Je voulais te demander un truc. J’ai remarqué que tu étais assez bonne en littérature et j’aimerais savoir si.. si tu pouvais m’aider .» Je ne bougeais toujours pas. Il venait me demander des cours particuliers. A moi. Allez accepte ! T’en crèves d’envie !Il me fallut quelques secondes avant de réaliser. « Heu .. oui oui. Je veux bien. »


C’est comme ça que lui et moi nous nous sommes rapprochés. Je pourrais même dire que nous étions amis. Au-delà des cours particuliers, il lui arrivait de m’offrir un capuccino « comme pour notre première fois » qu’il disait. On discutait beaucoup ensemble. Je découvrais quelqu’un d’intelligent derrière le garçon sportif et populaire. J’étais heureuse, j’avais l’impression que je comptais pour lui. Parfois j’avais même l’impression qu’il ressentait quelques chose. Et le jour où je m’étais enfin décidée à lui parler de mes sentiments il m’avoua tout sourire qu’il avait rencontré quelqu’un. Je m’étais imaginé que je lui plairais mais la réalité était autre. Je n’étais que son amie, rien de plus. Si c’était la seule chose que je pouvais avoir de lui alors je l’acceptais.